À Pornic, Ingrid Cussonneau a souhaité créer un salon de coiffure hors-norme. À l'étage, seule avec sa cliente, priorité à l'écoute et à la personnalisation. Au rez-de-chaussée, Didier Meillerais a créé un espace dédié au bien-être, à « l'accordance ». Soit l'art d'accorder, de réaccorder le corps avec l'esprit, à base de relaxation et de clefs pour dénouer tout ce qui reste là, enfouit sans pouvoir s'échapper. Parenthèse, 8, rue de la Marine. Ouvert du lundi au samedi (sauf le mercredi) pour le salon de coiffure et le mercredi, jeudi et vendredi pour l'espace bien-être. Renseignements au 02 40 82 02 79.

Un ouvrage, réalisé en avril 2012, qui a déjà porté ses fruits semble-t-il. “Il n’y a pas de suivi scientifique mais d’après le retour des pêcheurs, les anguilles sont bien présentes.” Deux autres passes à poisson avaient été installées, “mais elles ont été volées cet hiver”, regrettent Thierry Vigile. Il y en a environ pour 15.000€. Quoi qu’il en soit, cette passe à poissons fait partie des actions menées dans le cadre du Contrat régional des bassins versants (CRBV) du conseil régional des Pays de la Loire. Ce contrat arrive à son terme fin 2013, mais il y a encore des projets à mener sur le territoire. Notamment avec l’Association pour le développement du bassin versant de la baie de Bourgneuf (ADBVBB) (1). Direction Chauvé Mickaëlle Rousseleau, la directrice, assure : ” 80 % des actions ont été réalisées. Il reste un reliquat d’un montant de 174.710€ qui peut être réaffecté sur d’autres opérations dans le cadre d’un avenant. Ainsi, huit opérations sont proposées. Leur coût total prévisionnel s’élève à 749.183€ et le montant de l’aide régionale demandée est d’environ 30 %.” Pour obtenir cet avenant (qui devrait être voté en juillet), rien de mieux qu’une petite visite sur le terrain avec les élus notamment Sylvie Bringuy, vice-présidente à la Région. Direction Chauvé pour une autre opération : la substitution du vannage du Pin par des micro-seuils. En clair, l’écluse, située sur le ruisseau du Pin, bien abîmée, va être démoli. Il a fallu dix ans de concertation pour que soit prise cette décision l’année dernière. Finalement, le nouvel ouvrage à gestion passive (sans manivelle) se calera sous la route de manière à avoir une pente douce, toujours dans l’idée de continuité écologique. Pour les poissons mais aussi pour avoir un niveau d’eau plus naturel et qui respecte l’arrêté préfectoral. Les travaux devraient commencer en 2014 et le suivi sera assuré par la fédération de pêche, prestataire de l’ADBVBB. Marion Vallée (1) Basée en Vendée, l’ADBVBB regroupe 41 communes de Loire-Atlantique et de Vendée, est la structure porteuse du Schéma d’aménagement et de gestion des eaux (Sage) du marais breton et du bassin-versant de la baie de Bourgneuf. En cours de révision, le Sage a pour objectifs l’amélioration de la gestion quantitative, la prévention du risque d’inondation et de submersion marine, l’amélioration de la qualité de l’eau et des milieux notamment au travers du rétablissement de la continuité écologique, ainsi que l’amélioration de la cohérence et de l’organisation des actions.

Le quatre master féminin remporte la coupe du championnat de France 2013 dans sa catégorie. Et de trois ! L'équipage formé d'Anita Eveillard, qui reprend le flambeau de Sophie Guyon (lire Ouest-France édition Pornic - Pays de Retz du vendredi 7 juin), d'Ulrike Allain, d'Agnès Morantin et de Véronique Beasse, barré par Michel Querouil, ramène la coupe pour la 3 e fois. Le titre leur avait échappé l'an dernier à Lorient. « La course à Thonon-les-Bains a été menée par un train d'enfer par les jeunes Marseillaises, en tête, qui ont permis à l'équipage pornicais de se mettre à l'abri des autres bateaux master. Les rameuses n'auront relâché la pression que dans le dernier kilomètre », rapporte le staff pornicais. À noter qu'Henri Rialland se classe 11 e en solo dans la grande finale. Les deux autres équipages ont eu du mal à tirer leur épingle du jeu.

Avec l'équipe de cuisine menée par Jimmy Hurtebise, l'Empreinte a mis en place une restauration à base de succès. Depuis un an, toutes les chambres de l'hôtel ont été rénovées et la salle de restaurant repeinte donne, au bord de l'océan, le sentiment de prendre le large. Les menus permettent de s'attabler à tous les prix. « On peut manger en semaine pour 15 € et la carte présente des menus à partir de 22, 50 € », assure Patrick Guibert. L'Empreinte, 119, boulevard de l'Océan, à Tharon. Tél. 02 40 27 82 17.

Guy Davidi est né à Jaffa. Il est réalisateur de films documentaires et professeur de cinéma. Ses courts-métrages ont été présentés dans de nombreux festivals. En 2010, son 1 er long-métrage a fait l'ouverture du festival international de Jérusalem. Sa rencontre avec Emad Burnat ne manque pas d'émotion : « Je l'ai connu car j'allais chaque vendredi aux manifestations à Bil'in en Cisjordanie. Il était au coeur du mouvement, et partout avec sa caméra, de jour comme de nuit. Il a reçu beaucoup de soutien de militants israéliens et internationaux pour pouvoir filmer. Il m'a envoyé plusieurs mails disant avoir encore « perdu » sa caméra. Un jour il m'a annoncé qu'il avait eu cinq caméras qui étaient complètement cassées ! D'où le titre du film que j'ai réalisé avec lui. Mon idée c'était que Emad accepte d'être le personnage du film. Sa réponse, mesurée, a été positive et on s'est engagé dans l'aventure. » L'occupation de Bil'in Le film trace l'histoire d'Emad, un paysan qui vit à Bil'in, en Cisjordanie. En 2005, au milieu du village, Israël a élevé un mur de séparation qui exproprie 1 700 habitants du village de la moitié de leurs terres, pour étendre et protéger la colonie juive de Modi'in Illit, prévue pour 150 000 résidents. Les villageois s'engagent alors dans une lutte non-violente pour obtenir le droit de rester propriétaires de leurs terres, et de coexister pacifiquement avec les Israéliens. Avec « ses » caméras, Emad filmera la chronique intime de la vie du village en ébullition, dressant le portrait des siens, famille et amis, tels qu'ils sont affectés par ce conflit sans fin. Jeudi 13 juin, projection à 21 h, au Saint-Gilles. Un débat est proposé à l'issue de la représentation. Entrée 6 €.

Le cérémonial ne manquait pas d'originalité. Tous les Veaux en habit d'apparat ont prononcé la charte qui unit la confrérie : « Pour l'art de vivre au sein de la Confrérie, le Veau se battra » ; « Fraternel, convivial et respectueux par devoir le Veau s'obligera » ; « Débattre de la politique et de la religion le Veau s'interdira » ; « Gourmand obligatoirement et fin gourmet le Veau revendiquera » ; « Manger et boire sans atteindre la marche de travers le Veau veillera » ; « L'esprit Rabelaisien le Veau appréciera et d'humour il regorgera »... Bien entendu, après l'engagement des deux nouveaux Veaux, un repas a suivi avec au menu une tête de veau pantagruélique concoctée aux Collonades. Pour des raisons indépendantes de sa volonté, la Confrérie n'avait pu organiser sa fête de printemps. Elle se rattrapera le 28 septembre en présentant une manifestation de très grande ampleur. De nombreuses associations des Pays de la Loire participeront à ce premier gala pornicais : les chevaliers Raisvins de Machecoul, les confréries des Canards de Challans, de la Sardine de Saint-Gilles-de-Croix-de-Vie, des Fiefs Vendéens de Mareuil, des Tripophages de Château-Gontier, de la Tête de veau de la Sarthe, de l'Académie de Châteaubriant. Se joindra également aux réjouissances l'association des commerçants de Pornic. Défilés colorés, musiques, cérémonies originales, dégustions de tout ordre, cette fête gastronomique s'annonce « énorme » et contentera plus d'un gourmand.

Cet écolabel sensibilise et motive la collectivité afin qu'elle prenne en compte le critère environnement dans sa politique de développement touristique, en complément des directives nationales et/ou européennes obligatoires. Garant d'une bonne qualité environnementale, le Pavillon bleu véhicule une image positive et dynamique auprès des résidents comme des touristes.

Le père, la mère, le fils… tous ont “mordu à l’hameçon”, explique Casimir. “Car plus on se penche sur les abeilles, plus on se rend compte de la nécessité de faire quelque chose.” 1/15e d’une ruche Ensemble, ils font vivre cette association qui met en place de “petites actions, mais qui ont leur importance”. Ils organisent des portes ouvertes, participent à des débats. Une de leur initiative originale, le système de parrainage de ruches : “Le principe est simple, explique Mylène Fajfer, la mère et la trésorière. Chaque parrain subventionne l’achat d’une partie de ruche et reçoit en contrepartie et sur trois années, le miel produit par l’essaim. Le parrainage coûte 20€ ce qui représente 1/15e de ruche. Le parrain reçoit 1,5kg de miel sur trois ans. Sans oublier, qu’un suivi détaillé de la ruche parrainée sera envoyé par mail au parrain ou la marraine et sera consultable sur internet.” Car le but n’est pas tant de récolter du miel, mais plus de soutenir une cause : “Depuis quelques années, le nombre de colonies diminue très fortement. L’abeille est un insecte pollinisateur. Sans elle, il y aurait des conséquences graves sur l’ensemble de la biodiversité, y compris pour l’homme.” Les dix ruches, installées sur le terrain près de leur habitation, hébergent 40.000 abeilles chacune. “On va voir le résultat cette année, sûrement que les voisins auront plus de fruits…, assure Mylène. On peut aussi aider les agriculteurs. Il y en a un qui va faire du sarrasin, et il n’a personne pour polliniser son champ, je lui ai proposé qu’on y installe une ruche.” Et l’association ne s’arrête pas là : pour augmenter la pollinisation, trois ruches vont être installées dans la zone artisanale du Pré Boismain de La Bernerie. Marion Vallée Utile.- L’abeille de Kerverner, 17 rue du Petit Bois Moisan, 44760 La Bernerie en Retz. Tél. 06 04 13 16 12. Mail : parrainagederuches@laposte.net. Site internet : www.parrainagederuches.webnode.fr

Les personnes qui souhaiteraient aider Pornic-Histoire en prêtant des documents photographiques peuvent contracter Dominique Nobilleau (02 72 92 21 31), Pierre Desmasures (02 51 74 54 42) ou pierniclaurbarret2@wanadoo.fr Les documents seront scannés puis rendus à leurs propriétaires dans les plus délais. L'exposition se déroulera à la salle des mariages de Sainte-Marie du 10 au 17 août.

« J'ai commencé l'aviron à Frossay, au Migron », raconte-t-elle. Mais, distance oblige, lorsqu'elle apprend qu'une section aviron de mer se monte au club nautique de Pornic, « mon sang n'a fait qu'un tour ». Après le basket, l'équitation, la self-défense, la course à pied... C'est depuis l'aviron de mer qui occupe ses créneaux horaires consacrés à la pratique sportive. Ce qu'elle aime : « la convivialité, la discipline, la rigueur » qu'impose ce sport. « On apprend tous les jours », assure Anita Eveillard. « C'est très physique. Il faut être endurant, mais, personnellement, j'aime lorsqu'il y a une difficulté à relever, un défi, un challenge », dit cette compétitrice. Qui, en 4 barré féminin master, a remporté avec l'équipage pornicais la médaille d'or au championnat de France d'aviron de mer en 2011 à Dunkerque. Ce week-end, elle sera avec les rameurs et les rameuses du club nautique de Pornic sur le lac Léman à Thonon-les-Bains pour le championnat de France d'aviron de mer 2013. L'objectif : « être les premières master », dit Anita qui reprend avec motivation la suite d'une Sophie Guyon au sommet de sa carrière sportive. Selon la nouvelle secrétaire adjointe de la fédération, Anita Eveillard a toutes les qualités requises pour reprendre un flambeau tenu à bout de bras depuis plusieurs années : « pugnacité, combativité, expérience, aujourd'hui on sait que l'on peut compter avec les équipages de Pornic et ça va continuer », prévoit Sophie Guyon. Après ce championnat, le club nautique organise un stage découverte de l'aviron de mer du 17 au 21 juin, ouvert à tous à partir de 16 ans. Un stage pour se faire une idée concrète de ce sport avant, éventuellement, de s'inscrire au prochain forum des associations de Pornic, en septembre. Tarifs : 80 € par personne. Renseignements : 02 40 82 34 72 ou www.cnpornic.com

Le programme Samedi 8 juin, à partir de 10 h, ouverture des stands, quai l'Herminier (peintres, maquettistes, associations). À 14 h : sortie des bateaux de l'association Coques en bois pour accueillir les bateaux invités. Navigation en flottille devant la Noëveillard, la Thalasso et Saint-Marie-sur-Mer. À 16 h 30 : rentrée des bateaux dans le port de Pornic avec présentation de chaque unité. Le public pourra étrenner le nouveau « stade nautique » en fond de port, où, bien installés sur les gradins de pierre, les amateurs de belles voiles en prendront plein les yeux. Préparez les appareils photo ! De 15 h à 19 h 30 : animation musicale avec la chorale Hope. À 17 h 30 : concours de godille réservé aux adhérents de l'association, ouvert aux débutants. Dimanche 9 juin, les stands ouvriront à partir de 10 h. Le bagad de Guérande assurera l'animation musicale du quai l'Herminier à 14 h. Les bateaux invités rejoindront leurs ports respectifs à partir de 15 h. Et à 15 h 30, l'association Coques en bois présentera Yoyo, ce canot noirmoutrin entièrement restauré par les bénévoles de l'association. Yoyo sera mis à l'eau à 16 h, et la finale du concours de godille sera donnée à 17 h, avant la remise des prix. Samedi 8 et dimanche 9 juin, quai l'Herminier à Pornic. Gratuit.

Repérer les fuites n'est pas simple. La perte évaluée est de 2 m 3 par jour sur chacun des 550 km du réseau. Le projet de Veolia est de descendre à 1,7 m 3 . Plusieurs procédés existent pour déceler les fuites dont l'un des plus efficace : celui du « gaz traceur ». Avec ce procédé innovant, Veolia s'est engagé dans une procédure de « résultat », les techniques de détection acoustique ne pouvant pas toujours être utilisées. Cette technique consiste à injecter dans une conduite d'eau un gaz plus léger que l'air et sans danger : de l'hélium. Lorsque le gaz parvient au niveau de la fuite, il remonte directement à la surface du sol, d'où son nom de gaz traceur. Il ne reste plus alors qu'à le repérer en surface à l'aide d'un détecteur de gaz. Ce procédé permet ainsi de réduire le volume d'eau perdue sur le réseau et participe à optimiser la performance des systèmes d'alimentation en eau potable. Jean-Michel Brard, premier adjoint de Pornic mais aussi un des responsables du Syndicat du Val Saint-Martin, présent lors de la démonstration, en a profité pour évoquer le devenir du château d'eau « historique » situé au Sandier en agglomération à Sainte-Marie-sur-Mer : « Il va être abandonné au début de la saison estivale à venir. Ensuite, il sera détruit avec un procédé ne mettant pas en péril les riverains. Il sera remplacé par des « cuves » enfouies, donc respectant l'environnement, situées en bordure de la route bleue. La pression ne sera plus par gravité mais par un mécanisme de machines »

Et si vous ne payiez que le transport et la nourriture ? C'est possible, notamment grâce à l'échange d'appartements. Via des sites spécialisés (homeexchange, trocmaison,...), vous pourrez par exemple troquer votre appartement parisien contre un pied-à-terre à New York le temps d'une semaine. Votre qualité de Français sera tout sauf un inconvénient quand on sait que l'Hexagone est la destination la plus prisée par les étrangers ou que Paris est la ville la plus visitée au monde. Autre option, le gardiennage bénévole d'un logement en l'absence de ses propriétaires. En échange de quelques services comme du jardinage ou l'alimentation d'animaux domestiques, des seniors retraités pourront momentanément prendre possession d'une maison ou d'un appartement dans un endroit qu'ils souhaitent découvrir, là aussi grâce à des sites spécialisés (domsitting, ilidor ou partirtranquille). Internet sera également incontournable si vous souhaitez vous adonner au 'couchsurfing', qu'on pourrait traduire par surf de canapé. Le concept, lancé au début des années 2000, permet de se loger gratuitement dans le monde entier et, mieux, ambitionne de promouvoir les échanges entre les peuples. Pour dénicher un futon à Tokyo ou un clic-clac à Mexico, une seule adresse, couchsurfing.com, un site riche de quelque 3 millions de membre répartis dans plus de 100.000 villes à travers la planète. A vous les canapés du monde entier... bon voyage !

Il propose la création de logos, de cartes de visites, de dépliants, de tracts... mais aussi l'impression sur papier et surtout le marquage sur textile et le marquage adhésif sur véhicules, vitrines, enseignes. Art'Monie, 263, avenue de Mindin. Tél. 06 17 09 83 08.