La randonnée de 7 km, entre la Prée et le Cormier, est découpée en 8 parcours à visiter séparément et indépendamment les uns des autres. Pour chaque parcours, des informations sur la nature, l'histoire et les anecdotes de la commune sont fournies. Pour rendre le guide plus dynamique, des questions sont aussi posées aux participants. Ce livret, rempli de photos et anciennes cartes postales, animera toutes les balades le long du littoral. Un guide de 32 pages à emporter lors des promenades le long des sentiers littoraux, pour explorer le patrimoine historique et naturel de la commune. Il est disponible à l'office de tourisme (2 €) ou téléchargeable gratuitement sur le site www.tourisme-laplainesurmer.fr. Office de tourisme, tél. au 02 40 21 52 52.

Pourquoi mettre en place une brigade à cheval ? Elle permet d'avoir un champ visuel très large, avec un point d'observation de près de 3 mètres du sol. La patrouille se déplace là où même les VTT et les véhicules motorisés n'ont pas accès. Notre présence est plus dissuasive et préventive que répressive. Quel est son rôle ? Par le biais de nos patrouilles, nous devons veiller à la sécurité, la tranquillité et la salubrité publique, plus particulièrement sur les risques d'incendie, le contrôle des parkings du littoral, la réglementation des camping-cars, les dépôts sauvages, le camping sauvage. Cette année, nous concentrons plus particulièrement notre surveillance sur la côte sauvage, aux abords de la plage naturiste, afin de prévenir et éviter tout débordement. La présence des chevaux facilite le contact avec la population, un rôle touristique. Nous sommes amenés à renseigner les estivants.

L’histoire. Palmiers de chine, camélias, magnolias… Le paysagiste Thierry Huau (qui sera présent lors de l’inauguration) a choisi des essences exotiques, encore jeunes qui pousseront et grandiront à Pornic. “Nous voulons raconter une histoire, explique le maire de Pornic Philippe Boënnec. Ces essences tropicales arrivaient par la mer, dans des caisses de bois. Les bateaux les débarquaient sur les quais. D’où la présence de grosses caisses qui abritent les palmiers sur les quais, mais aussi dans le jardin. On veut raconter une histoire maritime.” La vue. La création de ces jardins est basée aussi sur la vue. Le château reste en ligne de mire. Le but est donc de préserver cette perspective. Dans cet esprit, l’équipe municipale compte bien limiter les automobiles dans le centre-ville, où déjà “entre les arches et le pont du 8-Mai, le piéton est roi. Nous allons d’ailleurs poser des panneaux pour signaler cette zone de rencontre limitée à 20km/h.” Le plan de circulation sera réorganisé : “On incitera les véhicules à passer par l’échangeur de Saint-Père, près du Val St-Martin, pour que les automobilistes se garent sur le parking du canal (250 places) et de l’amphithéâtre. Une passerelle sera installée pour relier le parking au jardin.” Les aménagements. Toujours pour limiter la circulation des voitures dans le centre-ville, le parking de la gare actuel sera transformé en pôle multimodal : on pourra y accéder par la rue Général de Gaulle. Dans le virage, quelques maisons, achetées par la ville, seront détruites pour laisser place à des silos qui descendront vers un stationnement couvert. Pour relier les deux rives, une liaison interquartier, entre La Birochère et la rue Loukianoff, est prévue. toujours dans l’optique d’inciter les gens à se garer sur le parking du canal, un franchissement inférieur ( tunnel pour piéton, vélo et voiture) de la voie ferrée devrait être construit. La ville a eu l’autorisation de Réseau ferré de France (RFF) de supprimer un morceau de rails entre le Café du port et l’office de tourisme. Ainsi, un espace sera créé faisant la jonction entre la gare et la ria. Les projets immobiliers. La Ria, ce n’est pas qu’un jardin, c’est aussi la construction d’équipements touristiques et de plus de 300 logements. Le maire affirme que le projet de l’hôtel quatre étoiles, situé au bout du parking du canal, et celui du Pasino, qui doit s’installer dans le fond de la ria, sont en bonne voie : “J’ai même deux documents écrits du groupe Partouche (qui exploite le casino actuellement situé sur les quais NDLR) qui se dit prêt à s’engager. J’espère une signature avant la fin de l’année. “ Marion Vallée

Elles ne pouvaient pas se rendre sur le terrain prévu spécialement pour les accueillir à Herbignac, celui-ci étant occupé par une autre mission, à partir de dimanche prochain. "La Loire-Atlantique a fait des efforts, il faut le reconnaître (le départemental possède 6 terrains et il en faudrait 8, idéalement, ndlr)", commente un voyageur. "Mais pas assez... La preuve : on n'a nulle part où aller. Et on ne nous propose rien".

Manque de communication à Pôle emploi Le gérant a signalé ses besoins depuis plusieurs mois à Pôle emploi : un crêpier, un chef, un commis de cuisine et même du personnel pour le service. Mais sans résultat. Chaque mois, un agent le contacte pour vérifier qu'il cherche toujours des employés, mais aucun candidat ne vient frapper à sa porte. « Ils m'annoncent des gens qui ne se présentent jamais !, s'exclame l'hôtelier. Il y a un grand manque de communication entre l'agence et les demandeurs d'emploi. » Ce constat, Ariano Gara n'est pas le seul à le faire. La confédération des professionnels indépendants de l'hôtellerie (CPIH) a d'ailleurs décidé d'attirer l'attention sur le problème. « Il manque plus de 500 cuisiniers et aides de cuisine en Loire-Atlantique. J'ai soulevé la question auprès des médias au mois de mai, se félicite François Effing, président d'honneur de la CPIH. Depuis nous recevons beaucoup de CV. Nous orientons plus que Pôle emploi ! » Pour cet ancien gérant, les milieux de l'hôtellerie-restauration souffrent de leur mauvaise réputation. « La profession n'est pas plus dure qu'une autre. Il faut savoir lire, écrire et calculer... et apprendre à rendre la monnaie sans calculette. » Le personnel qualifé se fait rare Tous ne partagent pas cette vision des choses. Nombreux sont les professionnels qui déplorent non pas le manque de bras, mais le manque de personnel qualifié. Pour Hervé Audureau, qui gère le restaurant Zagaya à Sainte-Marie-sur-Mer, le profil idéal est « passé par l'apprentissage, et a envie de faire ça toute sa vie. » Pas de chance, la plupart des candidats estivaux sont des étudiants qui cherchent un petit boulot pour les deux mois d'été. Certains professionnels prennent le temps de former de nouvelles recrues. Mais le manque d'expérience de ces jeunes ne comble pas leurs attentes. « Je n'ai pas envie de traîner une verrue pendant toute la saison », s'écrie même un restaurateur peu délicat à leur sujet. Un métier d'avenir Au Calluna, Ariano Gara a trouvé une solution : établir un partenariat avec un centre de formation. Depuis deux ans, il accueille des commis de cuisine formés dans une école de la Réunion, dont il est originaire. Julien Rocrou est un jeune cuisinier de 29 ans : « Le marché de la restauration est saturé à la Réunion, explique-t-il. Alors qu'en métropole, il y a moyen de trouver du travail. » Les hôteliers et restaurateurs du Pays de Retz sont d'accord avec ce constat. Et pour Hervé Audureau, la profession a de l'avenir « car nous ne sommes pas prêts d'être remplacés par des robots ! »

« Je fonctionne à l'inspiration », dit-elle. Formée à la restauration de tableaux, elle a abordé la photographie, le moulage, les arts plastiques et est tombée dans la marmite de l'art nouveau. Aujourd'hui, en plus de son atelier, Laurence Dalpayrat propose une nouvelle activité : « Thé au jardin ». Le temps d'un instant, elle propose une parenthèse gourmande à l'anglaise, dans le charme d'une vieille longère de 1850. Là, dans la quiétude d'un jardin de curé entretenu avec passion, Laurence Dalpayrat vient d'ouvrir un salon de thé, pour des instants totalement dépaysants, sereins, intimistes, loin des tumultes de la côte. Une parenthèse British, pour déguster toutes sortes de thé ou café, agrémentés de pâtisseries maison, cupcakes, cake pops. Atelier La Pagotière, Thé au jardin, 15, rue de la Pagotière à Pornic. 07 61 26 44 57. Ouvert du mardi au dimanche de 14 h à 18 h 30.

Les blessures sont légères mais ont nécessité un transport vers la Cité sanitaire de St-Nazaire pour la famille de cinq personnes du Picasso et vers la maison médicale de Pornic pour les cinq autres.