Commentaire du 21/07/12 à 21:54 par Liberté-Egalité-Fraternité |
| La fin du propos de Mr Cossé m'interpelle lorsqu'il parle 'nos représentants seraient plus respectés' Je pense qu'il voulait parler de respectabilité. Comment voulez -vous respecter un élu de la Nation, lorsqu'il arrive à s'absenter de l'Assemblée Nationale et de la Mairie de Pornic 3 semaines en juillet pour participer à une course à la voile à savoir la dernière édition de la Transquadra/solo. En 1ere étape St-Nazaire/Madère en juillet, puis quelques mois suivants lors du mois de février pour faire le second parcours Madère/les Antilles et cela durant trois semaines. On se fiche de qui ?........ Le site de cette épreuve est consultable, les concurrents y sont parfaitement identifiés ainsi que leur parcours.
Commentaire n° 3400 | |
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Commentaire du 21/07/12 à 12:22 par jean marc |
| Bonjour tous.
Monsieur Cossé, j'attendais votre réponse. ;-)
Continuons Si, dans un rêve, il n'y avait plus de cumul des mandats, d'indemnités de frais de mandat forfaitaires mais sur justificatifs et de cartes de carburant 'hors-parc', nos représentants seraient plus respectés. J'aimerais connaître l'opinion de nos amis de l'opposition en ce domaine, celle surtout de madame Rabin pour qui j'ai voté.Je suis un tantinet gourmand, je le reconnais, mais je ne voudrais pas avoir fait un pas de clerc. Ils sont peut-être en position délicate pour juger de l'attitude des élus de gauche qui refusent la proposition révolutionnaire de 'De Courson'. Ben oui,je comprends, mais la liberté d'expression existe et elle ne s'use que quand on ne s'en sert pas. On ne vois rien, on n'entend rien et surtout quand on est bien élevé, on ne dit rien. De quoi parlait-on déjà?
Nos élus nous les aimons, nous leur pardonnons tout.Ce sont les nouveaux apôtres, ceux qui portent la bonne parole au peuple paisible et confiant, avide de justice, une fois tous les cinq ans.
A propos de tout et de rien, histoire de ne pas se diluer dans des futilités,qui dans la commune bénéficie d'une carte de carburant 'hors parc'?J'entends par là: à quel niveau de responsabilité/s? Ce n'est qu'une info utile sans plus.
Quand il y a triche,s'il y a triche, ce qui n'est pas prouvé, il y a nécéssairement complicité par omission, dilettantisme,negligence ou frousse. Non, pas par intérêt..Non!Soyons sérieux.
Oui, je les trouve 'gonflés', mais dans 5 ans, je revoterai, les yeux fermés, les oreilles bouchées et la bouche pleine. De Gaulle avait raison, je suis un veau.
Commentaire n° 3397 | |
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Commentaire du 21/07/12 à 10:23 par Jean-François Cossé |
| Bonjour à JEAN-POLIVERR et à JEAN-MARC
A défaut de me pencher sur les frais de bouche de la course Pornic-Gijon, j'invite les contribuables à s'intéresser au 3ème volet des indemnités, celui du crédit de 9000 et quelques € affecté à la rémunération des collaborateurs. Calculé EN PRINCIPE pour 3 collaborateurs il peut toutefois, au gré du député, être versé au profit d'un nombre de personnes variant de 1 à 5. En cas de non emploi de la totalité du crédit, la part disponible demeure acquise au budget de l'A.N ou du parti politique à qui le député adhère.
Il ne faut pas chercher bien loin pour constater la vocation des membres de la famille du député à la mission d'attaché(e)s parlementaires. Je serai curieux de savoir combien de députés n'utilisent pas la totalité du crédit affecté aux collaborateurs!
Si, dans un rêve, il n'y avait plus de cumul des mandats, d'indemnités de frais de mandat forfaitaires mais sur justificatifs et de cartes de carburant 'hors-parc', nos représentants seraient plus respectés.
Commentaire n° 3396 | |
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Commentaire du 21/07/12 à 08:53 par jean marc |
| Turgot reviens, cliquer ici C'est un remake du refus de la noblesse et du clergé d'admettre l'égalité de tous devant l'impôt et la fin des privilèges. Si, l'Histoire repasse les plats! Ils se foutent bien de ce que nous pensons.Laisser faire et laisser dire telle est leur devise. C'est une secte sans cesse renouvelée, une confrerie qui pervetit ses membres!
Il faut être 'gonflé' pour se faire rembourser les frais de bouche par leur commune quand ils cumulent les mandats, voire plus.Sont-ils aussi respectables qu'ils le prétendent? A voir. Nous écrivons dans le vide. :-(
Commentaire n° 3395 | |
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Commentaire du 21/07/12 à 00:18 par jean marc |
| Mission accomplie. Je fais suivre chez les amis. Il faudra un jour parler également des voitures à vie avec chauffeurs pour les ex-premiers ministres ou Présidents et des heures supplémentaires payées aux jardiniers du Sénat lorsqu'il y a des séances de nuit.
Commentaire n° 3394 | |
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Commentaire du 20/07/12 à 17:11 par POLIVERR |
| JF Cossé n'est pas concurrent ?
Je croyais qu'il était intendant pendant la course pour vérifier et s'occuper des frais de bouche.
En tout cas, je suis content de voir que nos IRFM accumulées pendant de nombreuses années sont bien investies.
Bon vent à Pornic-Gijon-Pornic
Pendant ce temps, au palais bourbon...
Une majorité d'élus du Palais Bourbon a retoqué jeudi soir l'amendement du centriste Charles de Courson, visant à fiscaliser une partie de leur indemnité pour frais de mandat.
Les députés seront-ils bientôt contraints à plus de transparence sur une partie de leurs revenus? Grâce à Charles de Courson, la question figure désormais à l'agenda du Palais Bourbon. L'élu centriste a déposé un amendement pour fiscaliser la part non utilisée à des fins professionnelles de leur indemnité pour frais de mandat (IRFM). Sans surprise, les élus, réticents à perdre une partie de leurs avantages, ont retoqué sa proposition jeudi soir par 108 voix contre 24.
La question est pourtant d'actualité, François Hollande ayant placé le début de son quinquennat sous le signe de l'«exemplarité» de la République et des élus. La majorité a donc renvoyé la balle dans le camp du président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone. Faut-il fiscaliser la partie qui n'est pas utilisée ou faut-il rendre la rendre à l'Assemblée? Qui doit contrôler l'utilisation de cette indemnité? Le socialiste devra réunir les présidents des groupes parlementaires et faire des propositions. 6412 euros par mois
L'IRFM, qui s'élève à 6412 euros par mois, doit permettre aux députés «de faire face aux diverses dépenses liées à l'exercice de leur mandat qui ne sont pas directement prises en charge ou remboursées par l'Assemblée». Elle est distincte de l'indemnité parlementaire (7100,15 euros brut par mois) et de l'enveloppe dédiée à la rémunération des collaborateurs (9138 euros par mois). Charles de Courson accuse certains de ses confrères d'utiliser l'IRFM, ou du moins une partie, comme une rémunération complémentaire non déclarée.
«Tout le monde sait que certains députés n'utilisent pas toute l'indemnité pour leurs frais de mandat, ne faites pas l'innocent!», s'est-il emporté jeudi soir dans l'Hémicycle. Il répondait au patron du groupe PS, Bruno Le Roux, qui préconisait que la partie non utilisée de l'IRFM soit restituée à l'Assemblée. «C'est un vrai sujet. On peut le régler entre nous», a renchéri le socialiste Pierre-Alain Muet, soutenant la proposition de Bruno Le Roux de saisir Claude Bartolone. Un avis partagé par la coprésidente du groupe écologiste, allié du PS, Barbara Pompili. La question du contrôle soulevée
«Le problème de fond est le problème du contrôle», a poursuivi le socialiste Christian Eckert, rapporteur général du budget. Avant de se dire favorable à une inspection par les questeurs de l'Assemblée. «Je suis d'accord pour que l'Assemblée contrôle, mais la fiscalisation est incongrue», a jugé pour sa part le député du Front de gauche Nicolas Sansu.
Le président du groupe centriste (UDI), Jean-Louis Borloo, s'est également penché sur cette question d'un examen de l'IRFM. Tout en s'associant à la démarche de Charles de Courson, l'ancien ministre a déposé son propre amendement pour demander que l'utilisation de cette indemnité soit contrôlée annuellement par l'Assemblée. «Nous sommes dans un flou qui est de nature à abîmer le travail des parlementaires, qui sont le dernier rempart de la démocratie», a-t-il souligné. Sa proposition a été rejetée par 119 voix contre 29.
Sans s'engager, le président des députés UMP, Christian Jacob, a lui estimé que la question de l'IRFM relevait «du bureau de l'Assemblée».
Les gens changent, mais pas les mentalités.
Au moins, notre ex-élu ne pourra pas voter contre cet amendement !
N'oubliez pas de signer la pétition pour moins de politiciens verreux : http://www.contribuables.org/petition/transparence-des-frais-de-mandat-des-deputes-et-senateurs-2
Plus nous serons nombreux à signer, plus facilement la France sortira de la crise !
Commentaire n° 3393 | |
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