Une information ciblée Elle s'est adressée directement aux travailleurs saisonniers : « Le contrat saisonnier est obligatoire. Il doit être remis dans les 48 heures de l'embauche et doit contenir les mentions légales : tâches à effectuer, salaire, date du début et fin de l'emploi, la période d'essai avec salaire obligatoire, la convention collective et les 2 caisses dont dépend l'employé. L'employeur doit faire une déclaration à l'Urssaf et remettre une copie. » Salaire et durée de travail « Les moins de 17 ans ne peuvent percevoir que 80 % du Smic, les 17-18 ans 90 %. Dans certains secteurs payés au rendement, comme en agriculture, le salaire ne peut être inférieur au Smic. Une pause de 20 minutes toutes les 6 h et 2,5 jours ouvrables de congé par mois sont obligatoires. Il existe des dérogations. Les 8 premières heures supplémentaires sont majorées de 25 %, au-delà c'est 50 %. Dans le cadre HCR, l'employeur prend en charge le repas ou verse une indemnité compensatrice. La visite médicale est obligatoire. » Conflits Les responsables CFDT précisent leur action : « Nous renseignons les saisonniers. Particulièrement en cas de conflits. En général cela se passe d'une façon correcte avec les employeurs. Mais dans certains cas, nous sommes obligés de poursuivre jusqu'aux Prud'hommes ! » La CFDT sera présente aussi à Préfailles et à La Bernerie. Une 2 e campagne d'information se déroulera au mois d'août. Pour tous renseignements : CFDT région Saint-Nazaire, 4, rue François-Marceau 44 600 Saint-Nazaire, tél. 02 40 22 54 62.

Les trois engins fonctionnent sur batterie. L'utilisateur doit avoir au moins 12 ans, et peser au moins 40 kg. Les jeunes de moins de 14 ans doivent être accompagnés d'un parent ou responsable légal. Les tarifs sont fixés à 50 € par personne pour 2 h de balade ; 130 € pour 3 personnes ; l'heure est facturée à 30 € par personne, 75 € pour 3 personnes ; la demi-heure à 17 € par personne ou 45 € pour 3. Gyr'Retz propose aussi du street marketing, ainsi que de l'événementiel, afin d'annoncer des soirées à thèmes, des concerts... Réservation obligatoire au 06 59 37 01 51.

Depuis le 13 juillet et jusqu'au 20 juillet, Ils enchaînent les régates. La première journée, ils ont terminé 4 e , puis 1 er et 2 e dans un vent de 10/13 noeuds. Une très bonne journée qui les positionne 1 er au classement général. À suivre.

"Tout était terminé dimanche soir", note Patrick Leweurs, chef de la mission infrastructures nouvelles à RFF pour les Pays de la Loire. Opération qui a nécessité la mobilisation de 35 personnes. Outre ces opérations ponctuelles, RFF a lancé depuis 2008 un gigantesque programme de renouvellement des voies et des installations. A l'exemple des travaux d'entretien du viaduc de Pirmil, à Nantes, ou de la sécurisation du tunnel de Chantenay.

Pour la communauté de communes de Pornic, ses huit communes et ses 49.070 habitants, l’enveloppe du contrat de territoire départemental s’élève à 2.541.243€ pour trois ans, soit 52€ par habitant. Un numéro vert Après avoir insisté sur les “bonnes relations” que le président du Département et lui-même entretiennent malgré “les différences politiques”, Philippe Boënnec, président de la CCP, ne peut s’empêcher de constater la baisse des montants des différents contrats territoriaux (2005-2008 : 5,1 millions d’euros ; 2009-2012 : 4,18 millions d’euros). Philippe Grosvalet relativise ces chiffres et rappelle qu’en plus de l’enveloppe territoriale, l’enveloppe littorale s’élève à 808.409€ et celle de l’aménagement numérique à 2,5 millions d’euros. Ce qui tombe bien car, pour Philippe Boënnec, le désenclavement du territoire est la problématique n°1. Et le numérique en fait partie. Le conseil général financera 21 sous-répartiteurs sur le territoire de la CCP. Le but : “garantir un débit de 2 Mb/s pour tous. Les travaux vont commencer”, souligne Philippe Boënnec. “Pour que les citoyens aient des réponses précises sur leurs cas particuliers, nous allons mettre en place un numéro vert”, assure Philippe Grosvalet. Logements sociaux. Dans l’enveloppe territoriale, le volet habitat – foncier occupe la plus grande place avec ses 926.563€. “La communauté de communes s’engage à construire 60 logements sociaux par an sur le territoire pendant dix ans, explique Philippe Boënnec, selon le Schéma de cohérence territoriale (Scot) qui va être approuvé par le préfet dans les deux mois qui viennent.” Pour le président de la CCP, “proposer des logements sociaux c’est bien, mais il faut aussi des emplois”. D’où le désenclavement comme leitmotiv… “Pour attirer les entreprises et qu’elles s’installent sur le territoire.” D751. En plus du numérique, le désenclavement passe aussi bien sûr par les routes. Et Philippe Boënnec de demander l’aménagement d’une zone de dépassement entre le pont Béranger et Arthon en Retz ainsi qu’entre Arthon et Pornic. Le projet ne semble pas être dans les cartons du conseil général. Caserne des pompiers à Pornic. “Le projet avance”, d’après les deux élus qui se sont rencontrés entre quatre yeux, mardi 2 juillet. La nouvelle caserne se construira-t-elle zone de la Chaussée ou sur le site actuel, rue des Champs Francs, près de la zone de l’Europe ? “On communiquera sur ce dossier en septembre”, souligne le président du conseil général. Ligne SNCF Ste-Pazanne – Pornic – St-Gilles Croix de Vie. “C’est une compétence régionale”, répond le président du Département. Si le conseil général de Vendée a prévu de mettre la main au portefeuille pour la ligne Nantes – St-Gilles Croix de Vie, du côté de la Loire-Atlantique “aucune position officielle n’a été prise”. Marion Vallée L’enveloppe littorale Reste l’enveloppe littorale de 808.409€ qui participe au financement des projets de la capitainerie du port de Comberge à Saint-Michel Chef Chef pour 129.345 € ; de la restauration des palplanches du perré du chenal de l’ancien port du collet aux Moutiers en Retz (137.430 €) ; du réaménagement de la capitainerie à Préfailles (150.000 €) et de l’aire de carénage et dragage du port de la Gravette à La Plaine sur Mer (307.195€). Il reste 84.439€ pour d’autres projets.

L'objectif est « de voir comment ils s'organisent et se coordonnent » indique Jean-Louis Dupuis. « En effet, comme ils viennent de centres différents, il y a des façons de faire certainement différentes. » Sur le bord de l'eau, Jean-Louis a établi son scénario avec Matthieu, un des sauveteurs qui joue pour la circonstance le rôle de la personne à secourir. Un jeune se baigne et est pris d'un malaise, d'un étouffement. Baptiste, en surveillance, intervient immédiatement en compagnie de Chloé, sa collègue Mns. Premier diagnostic sous les yeux attentifs de Jean-Louis. « Il ne faut pas oublier notamment de demander à la personne si elle est sous traitement, a été récemment hospitalisée... On est clairement dans une situation où il faut appeler le 15 et le médecin régulateur aura besoin de ces éléments d'information » précise Jean-Louis à l'occasion du débriefing. En l'occurrence, le baigneur était asthmatique et reprenait de la ventoline.

Bosselé mais plaisant, le parcours est aussi réputé sélectif. Lors de cette 19e édition des meneurs d'allure, signalés par des ballons colorés, seront dans le parcours pour accompagner les coureurs vers leurs meilleures performances, en 45,50 ou encore 55 minutes. Des épreuves plus courtes sont aussi prévues pour les plus jeunes et les adolescents. Les responsables du CJAC poursuivent leur engagement dans une démarche de développement durable avec pour objectif le respect de l'environnement : inscription par internet, produits locaux en récompenses, incitation au covoiturage. Les inscriptions sont lancées : par internet (courir à Pornic ou Foulées Michéloises) sur le site du CJAC (cotedejadeac.free.fr), ou pour Pornic directement à l'office de tourisme, 02 40 82 04 40.

Vendredi 5 juillet, ce quartier a été inauguré. Le maire, Philippe Boënnec, était accompagné de Michel Rolland, président du groupe CISN Atlantique (dont Espace domicile pour le locatif social). Ensemble, ils ont visité un appartement en locatif-social et une maison en location-accession. Ils ont été reçus par Raymond et Jocelyne, logés dans leur T2 de 58,6 m 2 . « Tous les ans on renouvelait notre demande. On habitait en face de la gare. Ça fait 8 ans que nous attendons. Ici j'ai un garage », explique Raymond. Pour ce type d'appartement, il faut compter de 325 € à 562 € de loyers (annexes comprises). En tout, vingt logements locatifs sociaux ont été aménagés par la Sela, dans ce lotissement. « Quand on a une petite retraite, c'est parfait », dit Jocelyne. Plus loin, la visite de la maison en location-accession de Vanessa bat son plein. Un T4 de 81 m 2 , prix moyen : 190 000 €. « J'ai d'abord été locataire pendant 6 mois, pour évaluer si ça nous convenait. Au bout de 6 mois, nous avons levé l'option d'achat. » Sans apport, Vanessa et son compagnon ont pu acquérir la maison. « C'est notre 1 re acquisition. Nos mensualités sont équivalentes à un loyer (entre 700 et 900 € N.D.L.R), avec jardin et garage. Sans ce dispositif, nous n'aurions pas pu être propriétaire », dit Vanessa. Les 11 maisons en location-accession de cette 1 re tranche ont trouvé acquéreurs. Une seconde tranche est en cours de réalisation. Le but : « Remettre de la population dans des secteurs difficiles d'accès à l'achat comme à la location », explique le maire. Et pour lui, la location-accession est aussi une façon de « créer du logement social. »

Le principe est simple (encore faut-il être propriétaire d’un smartphone) : une fois téléchargée, MyPlage propose des informations pratiques qui informent les vacanciers mais aussi des habitants en temps réel. Sont accessibles en quelques clics : météo (température de l’air, vitesse du vent…), informations marines (horaires des marées, coefficient…), plage et baignade (classement qualité, température de l’eau, localisation des zones de pêche, pollution, cales de mise à l’eau…) et services directement liés au tourisme (transports, animations et événements, hébergements, commerces, bars et restaurants…). Au-delà des informations pratiques, l’application offre des fonctionnalités innovantes comme la réalité augmentée. Il s’agit de la superposition d’informations virtuelles au monde réel, en temps réel. C’est-à-dire, la possibilité de voir dans un environnment réel des objets virtuels. L’écran du Smartphone visualise l’environnement immédiat à 360° sur lequel viennent se positionner tous les renseignements demandés : hébergement, restaurant, bar, monument… “Est-ce qu’on va à la plage cet après-midi ?” Thomas Le Beux, directeur régional adjoint de Veolia, explique : “En tant que spécialistes dans le grand cycle de l’eau et partenaire de Pornic et Préfailles, nous avons développé depuis 10 ans des technologies pour informer les citoyens. L’idée de cette application m’est venue sur le marché de Pornic. J’ai entendu des gens se demander : “Est-ce qu’on va à la plage cet après-midi ?” Je me suis dit que, pour mieux vivre la station balnéaire, il fallait des informations pratiques en temps réel.” Pour Philippe Boënnec, il s’agit d’économie touristique “qui représente 1.300 emplois à l’année sur Pornic. N’ayons pas peur des mots, il s’agit de faire du business : l’application sert nos prestataires pour qu’ils gagnent bien leur vie et qu’ils créent des emplois.” Des webcams à Pornic L’application propose aussi des images (en différé) de webcams. En cliquant sur la touche “webcam”, vous pourrez vérifier le temps qu’il fait sur la station balnéaire pornicaise, s’il y a du monde à se promener sur le port… Deux webcams sont installées à Pornic sur le casino (qui balaye le paysage entre la ria et le môle du vieux Port) et le phare de la Noëveillard (qui offre un panorama entre le nouveau port et la baie de Bourgneuf). À Préfailles, une webcam est aussi prévue : elle sera mise en place dans l’été. Utile.- MyPlage est téléchargeable gratuitement sur le site des offices de tourisme, ainsi que sur Apple Store et Google Play.

Le Blues acoustique d'Alex de Vree Franco-néerlandais, Alex de Vree est un artiste issu de la scène blues nantaise. Son parcours l'amènera aux Pays-Bas, aux USA et en Angleterre. Après s'être lancé dans mille métiers, il choisit l'univers musical. À l'image des musiciens du Mississippi, le pays de cette musique du « diable » sur une rythmique à 4 temps à harmonie constante, c'est-à-dire le vrai blues, il adopte le blues acoustique. Dans la tradition des songsters, chanteurs des années 20-30, il s'empare de la musique colportée, de village en village, dans le Sud-américain. Ce blues parle de la vie, ses plaisirs, ses douleurs et exprime les émotions de l'âme. On ne peut imaginer le blues sans harmonica et Kévin Doublé en assure le rôle, avec un rare talent et beaucoup de complicité. Le jazz Orléans du Vinouze Jazz-band Cette formation est bien connue des Pornicais : elle s'y est produite plusieurs fois. Créé par une bande de 7 copains étudiants nantais atteints par le virus jazz New Orleans, en 1967, le groupe joue toujours cette même musique. Son répertoire s'est naturellement renouvelé et enrichi, avec des écritures pures jazz et des arrangements swing des années 30. Musique tour à tour entraînante, sentimentale, mais toujours joyeuse, le blues n'est jamais loin et Louis Amstrong, Sydney Béchet et Fats Waller ont beaucoup inspiré les musiciens du groupe. Festival de rue du Mans, rendez-vous de l'Erdre, festival Off de Vannes, partout, le vinouze a enchanté les mélomanes. Mercredi 17 juillet, concert à 20 h 30 à la salle espace Val Saint-Martin. Tarif : 10 € ; 6 € et gratuit pour les moins de 12 ans. Réservation l'office de tourisme de Pornic (02 40 82 04 40) ou à l'espace culturel Leclerc.

Dix matchs en Ligue des Champions, treize matchs en coupe de l'UEFA, 350 matchs au total en Ligue 1. Les stages Jean-Vincent Aujourd'hui, à 44 ans, il occupe les fonctions de responsable technique des stages Jean-Vincent, et trouve normal de « transmettre ses connaissances ». Après cette première semaine de stages, il se dit « surpris par les jeunes, par leur compréhension, leur application, leur investissement ». Le foot, ce n'est pas que de « l'argent, c'est aussi un patrimoine culturel à diffuser ». Comme il l'a appris au FC Nantes, « Le foot est un art ». A lui maintenant de former des « maîtres » du ballon rond.

La randonnée de 7 km, entre la Prée et le Cormier, est découpée en 8 parcours à visiter séparément et indépendamment les uns des autres. Pour chaque parcours, des informations sur la nature, l'histoire et les anecdotes de la commune sont fournies. Pour rendre le guide plus dynamique, des questions sont aussi posées aux participants. Ce livret, rempli de photos et anciennes cartes postales, animera toutes les balades le long du littoral. Un guide de 32 pages à emporter lors des promenades le long des sentiers littoraux, pour explorer le patrimoine historique et naturel de la commune. Il est disponible à l'office de tourisme (2 €) ou téléchargeable gratuitement sur le site www.tourisme-laplainesurmer.fr. Office de tourisme, tél. au 02 40 21 52 52.

Pourquoi mettre en place une brigade à cheval ? Elle permet d'avoir un champ visuel très large, avec un point d'observation de près de 3 mètres du sol. La patrouille se déplace là où même les VTT et les véhicules motorisés n'ont pas accès. Notre présence est plus dissuasive et préventive que répressive. Quel est son rôle ? Par le biais de nos patrouilles, nous devons veiller à la sécurité, la tranquillité et la salubrité publique, plus particulièrement sur les risques d'incendie, le contrôle des parkings du littoral, la réglementation des camping-cars, les dépôts sauvages, le camping sauvage. Cette année, nous concentrons plus particulièrement notre surveillance sur la côte sauvage, aux abords de la plage naturiste, afin de prévenir et éviter tout débordement. La présence des chevaux facilite le contact avec la population, un rôle touristique. Nous sommes amenés à renseigner les estivants.