| Commentaire du 23/04/14 à 21:38 par Pyjama de satin blanc |
 | Comment se réjouir, pour de sombres raisons, de l'échec d'un groupe... Parce qu'un club ce n'est ni un seul homme, ni un seul pouvoir.
Il y a ceux qui courent après le ballon, ceux qui courent après les sponsors, ceux qui courent après les bénévoles et ceux qui courent après la meute de chiens enragés.
C'est tellement facile de soutenir une équipe qui gagne. C'est tellement facile d'aboyer avec la caravane.
En ce sens, le sport ressemble à la politique, et à toutes relations humaines en général.
Les droits dans leurs baskets,les tordus du panier, les meneurs,les capitaines, les arbitres, les coaches, les spectateurs...
Il est des pages qu'il faut savoir tourner, comme il est des Hommes qu'il faut savoir changer.
Avec un seul mot d'ordre : le respect, en sport comme en politique.
Le Président du Pornic Basket annonçait son départ à la fin de la saison dernière sur le maintien de notre équipe 1re en Nationale 2. Faute de successeur, son devoir et son amour du club l'ont entraîné dans la spirale infernale d'une relégation fort probable.
Que ceux qui courent et aboient se regardent dans une glace et se demandent ce qu'ils n'ont pas fait et ce qu'ils ne feront jamais pour notre club phare...
Suis-je claire?
Commentaire n° 5986 | |
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