(source photo : Ouest-France) Un sarcophage de béton enrobela buse d'écoulement des eaux pluviales. Le squelette est en coursde construction. | Auteur / Source : Ouest-France
Résumé : Les travaux de défense contre la mer entrent dans sa dernière phase. Les murs de protection, réalisés dans les années 1960 à 1970, totalisent un linéaire de 1 065 m de murs publics (soit environ 3 400 m²). Ces murs, qui fixent le trait de côte, réfléchissent fortement la houle et donc favorisent l'abaissement du haut estran.
Les travaux de confortement consistent à entretenir les joints des maçonneries de moellons. En partie basse, le parafouille sera maintenu et recouvert de sable par rechargement des casiers. Ces murs doivent être protégés par une série d'épis transversaux destinés à fixer un cordon sableux en haut d'estran et ainsi limiter les attaques de la mer.
Mais il y a aussi les aqueducs en béton. Outre leur rôle d'émissaire de rejet des eaux pluviales, ils remplissent également le rôle d'épi. Certains aqueducs subissent un ensablement conséquent comme c'est le cas pour l'épi n° 3 bis, plage de la plage de la Croix-Lucas dont la section libre est considérablement réduite. Leur rigidité peut provoquer un phénomène de sous-cavage et, après affouillement complet, réduit l'efficacité de l'ouvrage dans son rôle d'épi.
Les travaux devraient se terminer à la fin de la première semaine de juin.
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