Commentaire du 19/10/10 à 12:48 par jean-françois Cossé |
| Dès l'annonce du résultat de la consultation sur la fusion, le sénateur André Trillard, président départemental de l'UMP s'était réjoui de la confiance accordée à Philippe Boennec. Il allait pouvoir le désigner à l'investiture de son parti pour la candidature aux élections législatives. La fusion était donc un passage obligé pour la carrière politique du maire. On est très loin de l'intérêt des Sanmaritains....d'où la désillusion.
Jacques Suhard découvre aujourd'hui que les promesses du maire, pour l'amadouer sur la fin, n'étaient qu'une vaste tromperie. Jacques Suhard dénonce un 'tour de passe-passe'. Le mot est faible
Le maire avait mis les moyens : expositions, numéros spéciaux du Courrier de Pays de Retz, publications diverses, affiches, sondages 'bidons' annonçant 56% de Sanmaritains en faveur de la fusion etc...le tout pour 65 500 euros d'argent public.
Que ceux qui voient une baisse des impôts locaux se lèvent ! La mise en commun des moyens qui exisaient depuis 1973 !!!!! étaient un leurre.
Le pire est que la loi organisait cette arnaque légale dès lors que le 'référendum' n'en n'était pas un mais une simple consultation destinée à' éclairer la décision du préfet'. Les Sanmaritains ne sont d'ailleurs pas dupes. Ils ont fait ont payer le maire en le battant dans 4 bureaux sur 5 aux éléctions municipales.
Commentaire n° 1063 | |
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