| Commentaire du 25/01/10 à 23:11 par Monsieur A. |
 | Monsieur COSSE,
Je tiens à préciser, je n'ai pas remis en cause la qualité des soins aux Jardins de Cybèle, bien au contraire. Pour avoir constaté de l'interieur, je félicite encore l'équipe soignante pour son dévouement et son efficacité. Mes critiques allaient à la direction (tant locale que nationnale), qui n'est pas à un mensonge près pour pour promètre des prestations qui ne sont pas du rôle d'une équipe soignante et dont l'équipe n'as de toute façon pas le temps de s'occuper.
Je ne rentre pas plus loin dans la polémique sur le financement, non parce que je ne m'y intéresse pas, mais simplement parce que je n'ai rien à y ajouter. J'en profite tout de même pour vous remercier de veiller à ces irrégularités, et j'espère qu'il sera donné suite à l'affaire.
Commentaire n° 579 | |
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| Commentaire du 20/01/10 à 15:07 par Jean Marc |
| | Cet article va bientôt rejoindre ses prédécesseurs à l'étage inférieur. juste en dessous... disais-je
C'était prévu, sans prétendre me mesurer à Nostradamus, il était prévisible que tout sujet , y compris le vôtre et surtout le vôtre, qui soulèverait des soupçons infondés voire pernicieux sur la gestion des affaires communales et + le cas échéant , serait remplacé par d'autres autrement plus consensuels et d'intérêt supérieur.
Voyez vous monsieur Cossé, vous n'avez qu'un tort: Celui d'avoir raison une fois de plus.
Rassurez vous , l'équipe d'opposition communale va se saisir promptement à- bras-le corps de l'affaire.
Je le tiens cette fois de ma pythie particulière et de Michel de Nostre-Dame réunis.
Ah! bien sûr, si la Cour des comptes acceptait de s'intéresser sérieusement à ce qui se passe réellement au bas de l'échelle de la gestion politique, alors peut-être que.. mais monsieur Cossé, vous êtes payé plus que quiconque ici pour savoir qu'il ne faut pas trop compter sur sa juridiction (ce nous ne pouvons que le regretter) -
Commentaire n° 564 | |
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| Commentaire du 20/01/10 à 10:03 par Jean-François Cossé |
| | Monsieur A,
Je ne critique pas la qualité des Jardins de Cybèle dont on dit le plus grand bien. Il ne s'agit pas de
privatisation. Je dénonce des pratiques opaques si courantes dans notre riante cité.
Est-il admissible qu'un maire-vice-président de Conseil général, chargé des affaires sociales bafoue
la loi, au point de se faire interdire dès le lendemain par les services de l'Etat la construction qu'il avait
autorisée la veille dans sa ville ? L'ouverture d'une maison de retraite médicalisée de 76 places ne se
décide pas en 24 heures !
Est-il admissible qu'un ministre chargé de la solidarité ponctionne 400000 euros d'une 'réserve
ministérielle' opaque pour sortir d'un mauvais pas un élu de son parti et l'établissement qu'il entrainait
avec lui ?
Qu'est ce qui motive un tel acharnement du maire à faire sortir de terre 'au forcing' un établissement
qui n'accueille que six malades Alzheimer alors que les établissements de Paimboeuf et de Bourgneuf
dont il est président en accueillent beaucoup plus sans en avoir les moyens humains et financiers?
Il ne s'agit pas de privatisation mais de 'copinages' grossiers bien loin de la 'République irréprochable'
souhaitée par notre Président lors de son élection.
Commentaire n° 562 | |
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| Commentaire du 20/01/10 à 00:02 par Monsieur A. |
| | Tapez ou collez votre texte en français ici et cliquez le bouton 'VD'après ce que vous dites Mr COSSE, ceci est un Nième exemple de la privatisation rampante du système de soin Français. On débloque des fonds pour une maison de retraite privée, et il ne reste plus d'argent pour le public. Et d'ailleurs, il ne reste plus non plus de places nécessaires dans la région.
En fait, ces lits de long séjours peuvent encore rapporter de l'argent, l'hospitalisation de longue durée permettant de prévoir les coûts moyens, et de fixer un prix en conséquence. Le budget y est donc facilement maitrisable.
Conclusion, s'ils sont rentables, laissons le privé faire ses bénéfices, et pleurons encore et encore sur les déficits de l'hôpital public. Tant que l'on laissera au privé tous les secteurs qui rapportent et au public les secteurs qui ne rapportent pas, l'hôpital public sera déficitaire. Ce modèle n'est pas forcément mauvais, je n'en juge pas, mais dans ce cas, il faut être clair, et accepter que l'hôpital public soit par nature déficitaire et lui donner les moyens financiers de fonctionner en déficit plutôt que de le contraindre à des économies permanentes qui mettent en danger la qualité des soins.
P.S. : Je ne peux m'empêcher de faire ici un brin de publicité à la résidence des ormes, du groupe les Jardins ce Cybèle. Pour y avoir travaillé quelques temps, je vous recommande fortement une équipe dévouée et consciencieuse. En revanche, j'aurais du mal à dire autant de bien de la direction. Les futurs résident sont accueillis dans un établissement présentés plus comme une résidence hôtelière médicalisée que comme un établissement d'hébergement pour personne âgée dépendante qu'il est en réalité. Beaucoup sont donc déçus de la qualité du service hôtelier, mais une fois entré dans ce type d'établissement, on en sort rarement, alors la direction n'est pas à un mensonge près pour faire entrer de nouveaux résidents. De l'extérieur, tout a l'air rose, une fois à l'intérieur, ce n'est plus tout a fait le même aspect. La plupart des groupes exploitant ce type d'établissements fonctionne de cette façon, mais les Jardins de Cybèle vont juste un peu plus loin que les autres.
Des personnes qui ne pouvaient rentrer dès l'ouverture de l'établissement pour des raisons personnelles ont payé pendant des mois leurs places avant de pouvoir rentrer alors que l'établissement était encore pratiquement vide. Sans doute pas illégale, mais côté morale, on en jugera. Tout comme le faite que le personnel de nuit travaille 11h pour 10h rémunérées... Ils ont une heure de pause non rémunérée au beau milieu de la nuit. Hors vous imaginez bien qu'il est impossible de prendre une heure de pause quand on est à deux pour répondre aux attentes de 80 patients. S'assoire plus de 10 minutes est un luxe rare, alors une heure de pause... J'arrête là, vous aurez compris l'idée. La liste de ce genre de comportements limites mais dans le cadre de la loie est longue. C'est ainsi que fonctionnent les quelques groupes qui se partagent de plus en plus des maisons de retraites privées en France. Nous leur confions nos ainés, pour des prix exorbitants. Les services vendus ne sont pas ceux disponibles, le personnel manque, mais c'est toujours lui qui est en première ligne au quotidien avec les résidents et leurs familles déçus des prestations ou en cas d'accident.
J'arrête ici mon éloge. Pardonnez moi de m'être éloigné du sujet.
Commentaire n° 561 | |
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| Commentaire du 19/01/10 à 13:00 par Jean Marc |
| | La municipalité a voulu rendre dynamique cette cérémonie en initiant une forme de dialogue population-conseillers. Pour cela, des adjoints et le maire avaient choisi quelques habitants qui devaient « préparer » des questions destinées à être lues publiquement. A charge pour l'adjoint concerné par le sujet, d'y répondre d'une façon claire. Un dialogue orchestré auquel seuls les élus de la majorité participaient !
Quel dommage que les adjoints n'aient pas pensé à vous proposer de poser une question par écrit à laquelle ils auraient répondu de façon claire 'en public'. Vous qui avez été maire délégué de Sainte-Marie!!
Quel dommage également qu'ils n'aient pas pensé à Bagus...
Il y a des questions qui se perdent.
Le public était content, c'est le principal, en ces temps troublés il faut s'intéresser à ce qui est positif et oublier les grogneugneux.
Un dialogue orchestré auquel seuls les élus de la majorité participaient Pourquoi?
Commentaire n° 559 | |
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| Commentaire du 19/01/10 à 12:31 par jean-françois cossé (mail:jfcosse@wanadoo.fr) |
| | Rappelons que le maire de Pornic est Président de l'Hopital Intercommunal de Pays de Retz dont l'hopital de Bourgneuf est l'une des composante.
Rappelons aussi qu'il a été vice-président de Conseil général, chargé des affaires sociales en 2002-2004.
Pour les unitées Alzhzeimer de l'hopital public qu'il préside, il n'y a pas d'argent.
Tout le monde n'est pas logé à la même enseigne.
Lors d'une visite le 22/08/2008 à la maison de retraite privée, les Jardins de Cybèle à Pornic, le ministre du Travail et de la Solidarité, Xavier Bertrand, a défendu le plan Alzheimer et promis des moyens (300 places en Loire-Atlantique).
Découvrant l' établissement modèle de Pornic, le ministre promet de 'dégager 400 000 € de la 'réserve ministérielle' pour atteindre 76 places au 1er janvier 2009'. Monsieur Boennec dans Pornic Magazine d'octobre 2008 pécise que cela représente 51 places supplémentaires.
Le bâtiment étant terminé,aurait-il été construit avant d'obtenir les autorisations et financements publics?
Surprise! les recueils des actes administratifs de Loire-Atlantique,nous apprennent qu'un arrêté du Conseil général,du 09 juillet 2002,autorisait la construction de la résidence 'les Jardins de Cybèle' pour une capactié de 76 places.
le LENDEMAIN, 10 juillet 2002, un arrêté préfectoral INTERDIT la construction de cet établissement 'pour incompatibilité du coût de la médicalisation de cette création avec le montant de la dotation limitative prévu par le code de l'action sociale et familiale'. Le chantier s'arrête.Cinq ans se passent.
On reconnait bien là l'auteur du coup de force.Mais c'est raté !
Le 26 décembre 2007, un nouvel arrêté préfectoral autorise une ouverture partielle dans la limite de 25 places d'hébergement permanent pour personnes agées dépendantes.
Le 14 mars 2008, un arrêté préfectoral autorise 3 places d'hébergement temporaires.
L'arrêté conjoint du 31 décembre 2008 portant extension de la résidence les Ormes à Pornic est ainsi rédigé : 'Vu l'ouverture de 25 places médicalisées ET 51 places pour personnes peu ou non dépendantes le 14 mars 2008....'
Or, il n'y a pas trace d'arrêté autorisant la création de 51 places.
LES 51 PLACES ONT DONC ETE OUVERTES SANS AUTORISATION puisque c'est l'arrêté du 31 décembre 2008 qui autorise leur ouverture !!!
Résumons. Le 14 mars 2008, les 51 places ont été ouvertes sans autorisation.
le 19 mai, l'établissement est inauguré sous la présidence du député-maire de Pornic.
le 22 août, le ministre promet que '51 places supplémentaires seront financées et disponibles au 1er janvier 2009.(Pornic Magazine).La direction voudrait des places supplémentaires ? 'Vous les aurez' promet en substance le ministre, décidé à dégager '400 000 € sur le budget pour atteindre 76 places au 1er janvier 2009'.(ouest-france).
LE MINISTRE A DONC PROMIS EN AOUT DE FINANCER L'OUVERTURE POUR LE 1ER JANVIER DES PLACES OUVERTES EN MARS.
On ne nous dit pas tout !
Conclusion :
Il n'y a pas de moyens suffisants pour ouvrir une unité Alzheimer 'labelliséee' dans l'hopital de Bourgneuf.
Pour aider son 'ami Philippe', le ministre sort d'on ne sait où ( réserve ministérielle opaque ?) 400 000 € pour sauver un établissement privé mis dans une situation financière difficile par les coups de force successifs d'un politicien du même parti que le ministre, contre l'autorité de l'Etat.
'Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal',écrivait Einstein 'mais par ceux qui les regardent sans rien faire'.
Commentaire n° 558 | |
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