Ils ont pris connaissance “avec satisfaction de l’engagement du conseil d’administration de RFF (Réseau ferré de France) le 28 mars dernier pour une participation à hauteur de 26,37 millions d’euros au financement de la modernisation des deux lignes ainsi que de l’avancement des études techniques et procédures administratives nécessaires pour pouvoir démarrer les travaux en temps utile à l’automne 2014.” Les élus attendent “avec impatience l’engagement de l’État quant à sa participation à cette deuxième étape de modernisation. Engagement nécessaire au plus tôt afin que les conventions de financement soient signées à temps pour respecter le calendrier prévu pour les travaux.” Ils affirment qu’ils n’admettront pas “que le calendrier annoncé ne soit pas tenu. Compte-tenu de leur état de délabrement, les deux lignes ne peuvent pas supporter un report des travaux de modernisation.” Ils sont indispensables pour éviter la fermeture de deux lignes dont les rails datent de 1897 à 1906. “Le trafic a triplé au cours des 10 dernières années en passant de 350.000 à plus d’un million de voyageurs annuels”, rappelle l’Aslo. Réponse de l’Etat ¬ à l’automne ? Monique Rabin dit “se battre” pour obtenir que l’Etat mette la main au portefeuille, “au minimum autant que Réseau ferré de France, soit autour de 25%”. La députée socialiste du Pays de Retz est montée au créneau auprès de Frédéric Cuvillier, le ministre des Transports. Elle attend sa réponse pour “septembre/octobre”. “Je ne dis pas que ça va le faire mais je fais tout pour”, souligne la parlementaire. Réunis à Machecoul le 4 juillet lors de leur assemblée générale, les maires et adjoints au maire représentant les 51 communes et intercommunalités de Loire-Atlantique et de Vendée adhérentes de l’Association Sud-Loire Océan ont examiné l’avancement du dossier de modernisation des voies ferrées Sainte-Pazanne/Pornic et Sainte-Pazanne/Saint Gilles Croix de Vie. Ils ont pris connaissance “avec satisfaction de l’engagement du conseil d’administration de RFF (Réseau ferré de France) le 28 mars dernier pour une participation à hauteur de 26,37 millions d’euros au financement de la modernisation des deux lignes ainsi que de l’avancement des études techniques et procédures administratives nécessaires pour pouvoir démarrer les travaux en temps utile à l’automne 2014.” Les élus attendent “avec impatience l’engagement de l’État quant à sa participation à cette deuxième étape de modernisation. Engagement nécessaire au plus tôt afin que les conventions de financement soient signées à temps pour respecter le calendrier prévu pour les travaux.” Ils affirment qu’ils n’admettront pas “que le calendrier annoncé ne soit pas tenu. Compte-tenu de leur état de délabrement, les deux lignes ne peuvent pas supporter un report des travaux de modernisation.” Ils sont indispensables pour éviter la fermeture de deux lignes dont les rails datent de 1897 à 1906. “Le trafic a triplé au cours des 10 dernières années en passant de 350.000 à plus d’un million de voyageurs annuels”, rappelle l’Aslo. Convaincre l’Etat et le CG44 De son côté, Monique Rabin dit “se battre” pour obtenir que l’Etat mette la main au portefeuille, “au minimum autant que Réseau ferré de France, soit autour de 25%”. La députée socialiste du Pays de Retz est montée au créneau auprès de Frédéric Cuvillier, le ministre des Transports. Elle attend sa réponse pour “septembre/octobre”. “Je ne dis pas que ça va le faire mais je fais tout pour”, souligne la parlementaire. Il va falloir aussi convaincre le Conseil général de Loire-Atlantique de mettre la main à la poche. Ce n’est pas là non plus gagner. Interrogé sur cette question début juillet lors de sa venue à Pornic, Philippe Grosvalet, le président PS du Département, a répondu que c’était “une compétence régionale”…